Faire face au défi du vieillissement de la population, quel avenir pour les EHPAD ?
24/09/2024 Tour de France du grand-âge Le 24 septembre, j’ai eu l’honneur de participer à une conférence autour de la
24/09/2024 Tour de France du grand-âge Le 24 septembre, j’ai eu l’honneur de participer à une conférence autour de la
Jérôme Guedj s’est rendu le 13 mai à Cachan dans le cadre de son Tour de France du Grand Âge
Vendredi 12 avril, Jérôme Guedj s’est rendu à Caen pour participer aux rencontres du domicile organisé par l’UNA Normandie.
Hier soir, jeudi 11 avril, avait lieu l’étape mayennaise du Tour de France du grand âge de Jérôme Guedj.
Le député socialiste de l’Essonne Jérôme Guedj organise un Tour de France du grand âge. Il fera étape à Changé (Mayenne), jeudi 11 avril, pour une soirée débat.
La semaine dernière, le Comité Economique, Social et Environnemental (CESE) a présenté et adopté son avis intitulé “Soutenir l’autonomie : les besoins et leurs financements”.
Jérôme Guedj a assisté à la délibération, pour constater encore une fois que le gouvernement refuse de s’emparer des propositions pertinentes pour le grand âge. Le CESE, après une consultation citoyenne, a construit un avis extrêmement riche et pertinent, qui montre que les solutions que Jérôme Guedj et le groupe Socialistes et apparentés portent à l’Assemblée depuis plusieurs années sont les plus sensées pour répondre aux besoins du grand âge.
Trois étapes bretonnes la même semaine pour poursuivre le tour de France du grand âge ! Mobiliser les citoyens, rencontrez les professionnels et découvrir des initiatives : nous continuons à créer un rapport de force citoyens pour une loi grand âge, vite !
Aujourd’hui est une journée charnière pour la politique du grand-âge de notre pays. En fin de journée, les députés seront appelés à voter sur les conclusions de la commission mixte paritaire de la proposition de loi bien vieillir du gouvernement.
Ce texte, qui comporte bien certaines mesures allant dans le bon sens, ne peut cependant être qu’une première brique, et le gouvernement procrastine depuis des années, de manière éhontée, sur la présentation d’une réelle loi ambitieuse de programmation du grand-âge. Et pourtant, la ministre Aurore Bergé ainsi qu’Élisabeth Borne, lorsqu’elle était première ministre, s’étaient solennellement engagées sur la présentation, avant l’été 2024, d’un tel texte, dans l’hémicycle de la représentation nationale.
Depuis la nomination de Gabriel Attal à Matignon, le silence du gouvernement sur son propre engagement est assourdissant. Rien dans sa déclaration de politique générale, rien lors des questions au gouvernement, et rien lors des nombreuses expressions publiques qui portent sur ce sujet pourtant crucial.
C’est pourquoi, aux côtés d’un grand nombre de députés d’opposition, j’ai tenu à augmenter et maintenir la pression sur le gouvernement, afin qu’il tienne ses propres promesses.
Dès lundi 18 mars à la première heure, j’ai participé à une réunion avec 3 conseillers du cabinet du premier ministre sur la nécessité de présenter une loi grand-âge. Puis, dans l’après-midi, le groupe socialiste de l’Assemblée nationale a largement diffusé un communiqué de presse très clair : sans engagement renouvelé, le vote des mesurettes, ce sera sans nous.
Ce mardi 19 mars, la mobilisation s’est poursuivie. J’ai eu l’occasion de m’expliquer, dès 8h20 sur France Inter, en confrontant la rapporteure du texte, la députée Annie Vidal, à ces incohérences politiques, à la suite d’une belle intervention de Victor Castanet, auteur du livre « Les Fossoyeurs » sur le scandale Orpéa.
Ensuite, en début d’après-midi, un courrier signé par 8 présidents de groupes politiques de l’Assemblée nationale et du Sénat, de gauche comme de droite, demandant officiellement un engagement sur une véritable loi grand-âge, a été adressé à Gabriel Attal.
Malgré tout cela, lors de la session des questions au gouvernement qui a eu lieu à 15h ce mardi après-midi, la procrastination s’est poursuivie. Interrogée directement par Annie Vidal, une députée de sa propre majorité, la ministre Fadila Khattabi a refusé de s’engager et a poursuivi la tartufferie gouvernementale sur le sujet.
Notre cap est clair, les dangers du mur de la transition démographique sont trop imminents, et nous, députés socialistes et de l’opposition, agirons en conséquence.
Nous ne participerons pas à une énième opération de communication du gouvernement.
Nous ne serons pas les idiots utiles de l’abandon institutionnalisée des personnes âgées.
Nous présenterons une motion de rejet préalable avant le débat sur les conclusions de la commission mixte paritaire de ce jour et, si celle-ci ne devait pas aboutir, nous voterons, la mort dans l’âme, contre ces conclusions.
Pas par opposition irresponsable, mais par cohérence politique et intellectuelle, au service de nos vieux.
Ce sera sans nous.
Retour sur l’échange entre Fadila Khattabi, Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et le député Jérôme Guedj concernant les personnes âgées, leurs proches et les professionnels.
Le 14 janvier, avec 17 autres députés issus de 9 groupes politiques différents, Jérôme Guedj a participé à interpeller le nouveau premier ministre sur la fin de vie. Projet promis de longue date, sujet touchant tout le monde, Jérôme Guedj et ses appels en appellent au gouvernement pour que l’Assemblée nationale puisse enfin se prononcer sur une grande loi sur le droit à mourir dans la dignité