Réunion de travail avec Rafika Rezgui
Élu de la Nation, le Député se doit de conserver un lien étroit avec l’ensemble des citoyens du pays, en particulier ceux de sa circonscription. Tous les jours, j’œuvre à conserver ce lien qui m’est cher. Cependant, par-delà cette relation primordiale entre le Député et les citoyens, il en existe une autre tout aussi importante : celle entre le Député et les élus locaux.
Député comme élus locaux sont engagés au quotidien pour améliorer la vie de l’ensemble des citoyens, il est donc primordial que nous travaillions, main dans la main, à faire advenir nos priorités conjointes pour améliorer les conditions de vie de toutes et tous. Si les Maires permettent au Député de recueillir les préoccupations concrètes de ses concitoyens, le Député, lui, se doit d’être le porte-parole des préoccupations des Maires dans les plus hautes sphères de l’Etat afin d’aider autant que possible à la concrétisation des projets locaux impulsés par ces derniers et dernières.
Les Maires sont des formidables acteurs de notre République, ils sont des acteurs indispensables à la transformation profonde de notre pays que nous appelons de nos vœux au sein de la NUPES. Tout au long de mon mandat, je serais toujours présent pour répondre à leurs besoins et agir en leurs noms dans le cadre de mon engagement à l’Assemblée. Comme avec l’ensemble de nos concitoyens, l’idée de co-construction restera ma boussole dans les relations que je souhaite entretenir avec l’ensemble des Maires de ma circonscription.
Pour toutes ses raisons, ce fût un plaisir de participer de partager un moment d’échange et de travail avec Rafika Rezgui, Maire de la Ville de Chilly-Mazarin. Tout au long de cette réunion, nous avons pu discuter de l’ensemble des grands dossiers et priorités à venir pour Chilly-Mazarin avec notamment :
– la décision de Sanofi de fermer son établissement et l’enjeu de protéger la vocation économique du site pour développer des emplois,
– préparation de la rentrée scolaire pour obtenir le recrutement de tous les enseignants, personnels sociaux (infirmières scolaires, assistantes sociales en particulier) et AESH pour accompagner les élèves en situation de handicap,
– maintien de la police de l’autoroute qui doit pouvoir travailler dans des locaux dignes et pérennes.