Gabriel Attal, nouveau visage d’une vieille politique
Comme l’ensemble des députés de gauche, Jérôme Guedj n’attendait pas grand chose de la déclaration de politique générale du nouveau premier ministre Gabriel Attal, puisqu’il était connu d’avance que celui-ci ne solliciterait pas de vote de confiance de l’Assemblée nationale.
C’est ainsi que, sans surprises, l’éphémère ministre de l’Éducation nationale aujourd’hui à la tête du gouvernement, a présenté, près de trois semaines après sa nomination à Matignon, une feuille de route estampillée “à droite toute”, prouvant par la même occasion qu’il perpétuerait la méthode de sa prédécesseure, en naviguant à vue et sans considération pour la représentation nationale.
C’est pour cela que l’ensemble des députés de gauche, dont Jérôme Guedj, ont voté ce lundi 5 février en faveur d’une motion de censure déposée à l’encontre de ce nouveau gouvernement qui se refuse à changer sa méthode de gouvernement et a entériné son alliance de fait avec la droite et son extrême.
Également très inquiétant : pas un mot du premier ministre sur une future loi transpartisane de programmation pour le grand-âge.