A partir du lundi 20 novembre, l’Assemblée nationale reprendra l’examen de la proposition de loi « portant mesures pour bâtir la société du bien vieillir en France » suspendu, fait rare, depuis mi-avril.
Dans un amendement au projet de loi de finances pour 2024, Jérôme Guedj appelle à apporter un soutien financier aux lieux de mémoire liés à la Seconde Guerre mondiale. Non retenu, le gouvernement préfère adopter un autre amendement moins ambitieux proposé par la majorité.
Une marche digne et rassérénante. L’antisémitisme n’a pas sa place dans la République, plus forte que l’hypocrisie de l’extrême-droite qui l’a tellement alimenté et en est issue, plus forte aussi que la désertion de quelques tristes sires à gauche.
Ce 14 novembre, la cellule française de l’OCDE a annoncé l’ouverture d’une procédure à l’encontre de l’entreprise SHEIN, multinationale chinoise de l’habillement. Cette procédure fait suite à une saisine des députés socialistes et apparentés le 20 juin dernier.
Avec les députés Socialistes et apparentés, notre proposition de loi visant à mieux protéger les enfants victimes de violences intrafamiliales a été adoptée à l’unanimité ! Autour d’Isabelle Santiago, nous continuons notre mobilisation pour que cette loi soit définitivement votée par le Parlement très rapidement !
La gauche sérieuse obtient des victoires. Loin des postures, continuer de faire son travail, même dans l’adversité . Nous félicitons Boris Vallaud et Philippe Brun d’avoir porté ce combat avec les députés socialistes.
Dans un entretien avec Mediapart, le 8 novembre 2023, Jérôme Guedj réagit à la récente proposition d’une marche contre l’antisémitisme, en recrudescence en France. Il affirme la possibilité d’une ligne à la fois « rassurante et combative ».
Le 20 octobre 2023, la Revue Politique et Parlementaire a rencontré le député Jérôme Guedj, auteur d’une proposition visant à garantir le droit à vieillir dans la dignité, afin de recueillir son analyse et ses recommandations en la matière.
Le 7 octobre dernier, l’état d’Israël était attaqué, de la pire des manières, par la barbarie terroriste du Hamas. Depuis, et alors que la sécurité et le droit à la légitime défense d’Israël sont, et restent, des éléments impondérables de notre boussole politique, nous assistons tous, collectivement autant qu’individuellement, à une escalade constante des horreurs de la guerre.
Le mercredi 27 octobre dernier, la première ministre a utilisé l’article 49.3 de la Constitution sur le PLF 2024 avant même l’examen du premier article, engageant ainsi la responsabilité de son gouvernement sur un texte qui n’aura pas connu une minute de débat en séance plénière.
